
Présentation
Pitch
Un groupe de personnes se réunit dans une salle de réunion pour discuter d’un objet mystérieux au centre de leurs préoccupations, jusqu’à une révélation finale absurde.
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Dates et lieux de tournage
Sarreguemines
12 avril 2025
Stade actuel d'avancement
Pré-production
Synopsis
Un groupe de personnes se réunit dans une salle de réunion pour discuter d’un objet mystérieux au centre de leurs préoccupations, jusqu’à une révélation finale absurde.
Note d'intention
Le conformisme et l'aliénation sociale
Dans un monde où la pression sociale et l’adhésion aux normes dominent, ce film critique la façon dont l’individu perd son libre arbitre au profit du groupe. Le conformisme devient ici une forme d’aliénation où l’individu, par peur de l’exclusion ou du jugement, accepte des croyances absurdes. L’adoration de la patate, un objet trivial et insignifiant, devient le symbole de cette soumission aveugle aux attentes collectives. Le film dénonce comment, dans une société de plus en plus uniformisée, la quête d'identité personnelle est sacrifiée au profit d’une appartenance à un groupe, même au détriment du bon sens. Cela reflète une critique de notre époque où l’on préfère parfois se conformer à des idéologies collectives, même dénuées de logique, plutôt que de chercher une vérité individuelle.
La manipulation des masses par l’autorité
Le film met en lumière la manière dont des figures d’autorité, comme Monsieur Gérard, exploitent le pouvoir qu'elles exercent pour manipuler et contrôler les individus au sein du groupe. La vénération de la patate est présentée comme un outil de manipulation subtile, transformant un objet insignifiant en symbole de puissance. À travers ce mécanisme, le film dénonce les pratiques de manipulation idéologique qui peuvent se retrouver dans divers contextes sociaux ou politiques, où des leaders ou des institutions influencent la pensée collective pour maintenir leur pouvoir. Ce processus montre comment des croyances irrationnelles peuvent être imposées et comment des individus, en quête de sens ou de sécurité, sont souvent prêts à accepter des idées absurdes sans se poser de questions.
La déshumanisation à travers l’idéologie collective
Enfin, le film aborde la déshumanisation engendrée par des idéologies collectives, où les individus sont réduits à leur rôle dans une structure sociale rigide, perdant ainsi leur individualité. En vénérant une patate, les personnages du film s’éloignent de leur humanité en suivant une logique absurde et déshumanisante. Le film critique la façon dont des groupes peuvent imposer des pratiques et des croyances qui effacent l’identité propre de l’individu, ne laissant place qu’à la soumission à un système. Ce processus d’effacement de soi est un outil puissant dans de nombreuses dynamiques sociales, qu’il s’agisse de groupes politiques, religieux, ou même commerciaux.
Thomas Sonnefrand
Extrait de la continuité dialoguée
Matériel de tournage disponible
- Sony Venice 2 & Atlas Mercury Anamorphic (35,50,75mm)
- Dolly Panther + rails (et machinerie complète)
- Matériel lumière et son